«Heureux les miséricordieux, ils obtiendront miséricorde » Matthieu, 5-7
La Pastorale des malades, c’est aller à la rencontre du malade, le visiter, se faire approcher de lui, prendre le temps de l’écouter et rompre sa solitude. C’est aussi et surtout lui apporter, quand il le souhaite, Jésus-Eucharistie.
« J’étais malade et vous m’avez visité »
Matthieu, 25-36
Tous ceux qui le souhaitent peuvent rejoindre le groupe. Nous sommes une douzaine de personnes, hommes et femmes, accompagnées par le Père Argilio et le Diacre Pierre.
La Fraternité se réunit tous les premiers jeudis du mois, de 16h à 17h, dans la salle Notre Dame de Lourdes, au presbytère. Pendant cette heure, le Père Argilio nous dispense un enseignement, suivi d’échanges fructueux entre les membres de la Pastorale.
Par petit groupe de 3 ou 4, notre rôle consiste à
- Assister le Père Argilio pendant les messes mensuelles célébrées dans les 4 maisons de retraite situées dans la paroisse : l’IMM, le Cap Sicié, l’Atrium, les les Palmiers.
- Porter la communion, chaque dimanche, aux « Palmiers », dans l’humilité et selon un rituel précis.
- Rendre visite et porter la communion, au moins une fois par semaine, aux malades et aux personnes âgées qui ne peuvent plus se déplacer.
-
Favoriser les rencontres avec le Père Argilio afin que les personnes puissent parler, se confesser, recevoir le sacrement des malades, …
Quelle belle mission que de servir le Seigneur en apportant la Communion à nos frères.
Par nos gestes, nos paroles, notre écoute, nous essayons d’être, pour les malades, un « chemin » vers le Christ.
En apportant Jésus-Eucharistie, nous permettons, à tous ceux que nous visitons de se sentir en communion avec la communauté de Note Dame de la mer.
En nous intéressant à tous les souffrants, qu’ils soient chrétiens ou non, nous voulons montrer que l’Église n’a pas de frontières.
En remerciement, prions Marie.
« Ô Marie, siège de la Sagesse, intercède comme notre Mère pour tous les malades et pour ceux qui en prennent soin. Fais que, dans le service du prochain qui souffre et à travers l’expérience même de la souffrance, nous puissions accueillir et faire croître en nous la véritable sagesse du cœur. Ainsi soit-il. »